Elie Liberat NTONDELE BASSOUAMINA

Elie Liberat

Elie Liberat NTONDELE BASSOUAMINA : auteur compositeur chanteur percussionniste, est né le 14 janvier 1978 à Kinkala en République du Congo.

Liberat tombe précocement amoureux de la percussion à laquelle il joue dès son enfance, à l’âge de 5 ans.

Après des années passées dans des groupes musicaux traditionnels au village Louomo puis à Brazzaville, il élargit le champ de ses préférences en s’intéressant au ballet ; genre artistique sur lequel il bâtira sa carrière professionnelle.

C’est ainsi qu’il intègre en l’an 2000 le ballet Mbonda-Sacré de Maitre Adios MAHOULOUWALA, à Pointe-Noire.

-En 2002, il s’envole pour le Bénin en Afrique de l’Ouest, où il rejoints Teber Milandou, Kaela Nkanza et Mbay Louvouezo, ses amis artistes du groupe Tambours sans frontières.

-En 2003, son horizon commence peu à peu à s’éclaircir, il se voit donné l’opportunité grâce à son talent artistique de sillonner l’Afrique de l’ouest avec la compagnie Tambours sans frontières. Ceci étant, il participe à la 18ème édition du FESPACO à Ouagadougou au Burkina Faso.

– En 2004 il participe au festival international de percussion de Bamako au Mali.

– En 2005 il participe au festival Danse Bamako Dense au Mali, dans la même année il participe à la cérémonie d’animation musicale à l’occasion du sommet France-Afrique à Bamako au Mali.

– En 2006, toujours au sein de la compagnie Tambours sans frontières, il participe au festival de folklore de Louga au Sénégal, grâce à leur manager Américaine Zoé Willet. Dans la même année il joue en solo à la fête de la musique à Bamako.

– En 2007, il participe à plusieurs festivals au Mali son pays de résidence, parmi lesquels ; le festival DIAWARI à Mopti et le festival sur le Niger à Ségou.

– En 2008, toujours dans sa détermination de connaitre une carrière artistique bien remplie Elie Liberat s’engage avec Les Go de Koteba dans le projet TAAMA initié par Aminata DRAMANE TRAORE ex ministre de la culture du Mali et dirigé par Souleymane KOLY. Il intègre dans la même année le groupe Métis Mandingue à travers lequel il sera découvert par le producteur Moussa Diallo.

– En Septembre 2009, la maturité et le talent artistique de l’artiste Elie Liberat rejaillissent sur ces ambitions, il s’en vole pour l’Europe ou il représente le Congo au conservatoire d’Aarhus en Danemark, un projet initié par l’artiste producteur Moussa DIALLO en partenariat avec ledit conservatoire. Il y jouera un total de trente deux spectacles dans plusieurs villes du Danemark.

– En Octobre 2009, après cette série de prestations, Elie Liberat continue son odyssée artistique, il se rend en suède ou il va participer à l’animation musicale à l’occasion de la fête d’indépendance de la Guinée-Conakry organisée par les ressortissants Guinéen en Suède à Malmö. De 2010 à 2011, il conçoit le projet Fiimt’Africa après son retour au Mali, pays dans lequel il réside. Ainsi lui vient l’idée de retourner au Congo son pays natal pour matérialiser son inspiration chèrement acquise. En partant du Mali pour le Congo il fait escale au Benin, fin 2011.

-En 2012, en compagnie de l’artiste Chris KOBANGA, il dispense les cours de percussion et présente quelques spectacles à l’Institut Français de Cotonou et dans d’autres espaces culturels. Dans la même année il rencontre l’initiateur d’Afrikafun, le réalisateur Stéphane BRABANT grâce à qui, il aura le privilège de se faire connaitre dans le milieu culturel Béninois en compagnie de l’artiste Djenny Djella.

-Début 2013, il intègre l’orchestre de l’école Française de Cotonou (La Montaigne) avant son départ.

-En Juillet 2013, Elie Liberat rentre au Congo, son pays natal.

Après 12 ans d’expérience de formation et d’échanges culturels dans différents centres culturels en Afrique et en Europe notamment au Conservatoire de Danemark à Aarhus, en Suède à Malmö et en France. L’artiste revient dans son pays pour initier différents projets culturels afin de transmettre ses connaissances aux artistes congolais et contribuer ainsi au développement culturel du Congo. C’est ainsi qu’il crée, le 25 juillet 2013 à Brazzaville, l’Association « Cultures Sans Frontières » et son groupe « Brazz’Acoustic ».

Le 21 Décembre 2013, Elie Liberat connait sa première apparition scénique sous la bannière de Brazz’Acoustic à l’occasion d’un concert en compagnie de l’artiste Jamaïcain Winston McAnuff, à l’Institut Français du Congo.

Décembre 2013 il participe avec son groupe Brazz’Acoustic à la 10ème édition du festival Mantsina sur scène.

Le 25 Mars 2014, il joue avec son groupe Brazz’Acoustic pour la deuxième fois à l’Institut Français du Congo, sur l’émission (CONGO VIBES).

Le 21 Juin 2014, l’Institut Français du Congo l’invite à la 33ème édition de la fête de la musique à Brazzaville.

Apres des années d’abnégation et de travail acharné, la réussite fait un pas de plus dans la carrière artistique d’Elie Liberat. Sa boulimie de contribuer à la promotion culturel au Congo débouche sur la matérialisation de son très cher projet festivalier, le Fiimt’Africa.

Du 7 au 11 juillet 2015 à lieu la première édition du fameux festival international des instruments de musique traditionnels africains (Fiimt’Africa) dont il est l’initiateur.

Le 11 juillet 2015, il participe à la création musicale conçue par tous les artistes conviés à la première édition du Fiimt’Africa pour célébrer sa fermeture.

Le 4 septembre 2015, ayant fait ses preuves dans la bonne organisation du Fiimt’Africa, Elie Liberat participe à la cérémonie d’ouverture des 11ème jeux africains à Brazzaville où il sera compté parmi les membres du comité d’organisation de ladite cérémonie.